du domaine de Baronniere

du domaine de Baronniere Berger Australien

Berger Australien

Historique sur la race

Historique sur la race

Citation :



de l’histoire du Berger Australien…

Par Linda Rorem





Il y a peu de choses dont on puisse être sûr concernant les origines de la plupart des races. En ce qui concerne le berger australien, différentes théories ont été développées : qu’il soit d’origine australienne, qu’il s’agisse réellement d’une race basque, qu’il ait une vieille origine espagnole. L’enquête que j’ai menée montre qu’aucune de ces théories ne donne la totalité de l’histoire, mais que toutes y jouent leur rôle.



Bien qu’il y ait eu beaucoup de moutons dans les missions espagnoles, l’histoire de la Californie indique que le nombre de mouton au Far West était relativement restreint au moment de la Ruée vers l’or, dans la fin des années 1840. La Ruée vers l’Or et la Guerre Civile ont entraîné une forte demande de moutons et de laine. Pour répondre à cette demande, de grands troupeaux ont été amenés du Midwest et du Nouveau Mexique vers le Far West. D’autres moutons sont arrivés depuis les états de l’Est et importés de l’Australie (1). Parmi les chiens qui accompagnaient ces troupeaux figureraient les origines du berger australien.







L’apparentée avec les « collies »(NdT)



Les chiens qui sont arrivés avec les troupeaux du Midwest et de l’Est étaient principalement du type « old Collie » (type originel), souvent appelés génériquement « shepherd », et qui avaient accompagnés en Amérique les colons des Iles Britanniques. Ces Collies sont arrivés au Far West non seulement depuis les l’Est et de le Midwest, mais aussi directement de Grande-Bretagne. Le Collie de cette époque, un solide chien de travail polyvalent, avait un style de conduite moins rasant (« more upstanding style »https://aussiesweb.alloforum.com/images/smilies/clindoeil.gif et moins d’œil que son descendant, le Border Collie (2). A la différence de son descendant d’exposition le Colley poil long, ce working collie originel était rarement sable ou fauve, mais généralement noir, avec des marques blanches ou feu, ou bleu merle (3).

Margaret Osborne raconte dans son livre « The popular Collie » :

« … la couleur bleu merle est une des plus ancienne chez les Collies (Colley), et les chiens bleus étaient courant dans les fermes, où il assuraient le rôle de compagnons et de travailleur. C’est peut-être la raison – parcequ’ils étaient considérés comme « ordinaires »- que les collies merle ont quasi-totalement disparus des ring d’exposition… et sans les efforts de quelques fidèles, qui ont entrepris de sauver cette robe dans la dernière partie du 19ème siècle, nous ne verrions sans doute aucun Collie bleu merle de nos jours. »

Dans « the Collie » (1917), O.P. Bennet et C.H. Wheeler écrivent que parmi les premiers Collie de Show, « les couleurs prédominantes étaient le noir et blanc (sans feu), noir blanc et feu (tricolore) et merle. »



Alors que le Colley (poil long) et le border Collie commençaient à être développées sous les formes qu’on leur connaît actuellement, sous l’influence respective des rings d’exposition et des concours de troupeau, ils ont continué à être importés en Amérique. Pendant ce temps, les chiens de travail du type « old collie/shepherd » étaient toujours produits dans les fermes et les ranches. Une confusion sur le terme de « collie » a commencé à poindre. Les éleveurs du Kennel Club étaient inflexibles sur le fait que seuls leurs chiens étaient de vrais collies, et ont relativement bien réussi pendant un temps à s’approprier le terme.



Depuis toujours, le nom de « shepherd » ou « shepherd dog » avait été utilisé de manière interchangeable avec celui de « collie » ou « colley » pour les chiens de bergers britanniques, et lorsque le terme « Collie » a été associé avec les chiens enregistrés au Kennel Club (le type colley à la tête fine et au nez long et celui des collies à la tête plus large ont tous les deux continué à faire partie de la même race pendant un temps), en Amérique le terme « shepherd » est devenu spécifique au type working originel.



Dans l’Est et le Midwest, ces chiens de travail ont fini par être appelé « english shepherd », et à l’Ouest le même type de chiens était appelé « australian shepherd ». Il y avait des différences, lié au développement des races avec des apports différents en fonction de la localisation et de la sélection, mais les similarités ont été conservées.

La queue pouvait être naturellement courte chez l’English Shepherd, et c’était assez courant chez les premiers colley de show (poil court et poil long).

O.P. Bennet et H.C. Wheeler précisent dans « the Collie » :

« Lors des premières expositions (dans les années 1860), il n’était absolument pas rare de voir des chiens anoures ou demi-queue. Mais le Old english sheepdog était rarement présenté ».

« Un fait qui est mal connu des la nouvelle génération d’amateurs de Collie, c’est qu’à cette époque il existait un grand nombre de chiens de berger qui étaient l’exacte représentation du collie, sauf qu’ils étaient anoures ou queue incomplète ».

« En élevage, des chiots anoures, demi-queue et queue complète pouvaient naître dans une même portée ».

Les articles et photos publiés dans le magasine britannique dédié aux races bergères rares, « the Ark », en mai et juillet 1987, évoquent l’existence de nos jours d’un working collie NBT en Grande Bretagne, similaire dans le type et dans le style au travail à ce qui est considéré comme typique du berger australien.



Alors qu’il est devenu habituel de couper la queue chez le berger australien, la queue est acceptée longue ou courte chez l’English Shepherd. Le poil et la construction générale sont similaires. L’english et l’australian shepherd partagent tous deux les mêmes robes tricolores et bicolores (black and tan et noir et blanc) des « old collies ». Mais le sable (ou fauve) qui est acceptée pour l’english shepherd et qui a existé chez les premiers aussies, est non-conforme au regard du standard actuel du berger australien. De l’autre côté, le merle et le rouge/chocolat sont devenus non-conformes pour l’english shepherd, bien que la couleur rouge récessive ressorte encore occasionnellement (6).

Un autre lien avec les races de types collie est démontré par la présence chez le berger australien de la mutation du gène MDR1.

Citation :



La souche espagnole (NdT)

Les chiens qui ont conduit les troupeaux depuis le Nouveau Mexique étaient en grande partie d’origine espagnole. Les récits d’époque décrivent ces « New Mexican Sheepdog » comme de grands et puissants chiens de garde, d’allure lupoide et généralement de couleur blanc jaunâtre, ou parfois noir et feu.

Ces chiens étaient avant tout des gardiens, avec quelques petites aptitudes pour la conduite de troupeau. Ce type de chiens était aussi sans doute présent dans la partie espagnole de la Californie. L’explosion de l’industrie ovine dans l’ouest au 19ème siècle s’est accompagnée d’une disparition progressive du New Mexican sheepdog au profit des types collies/shepherds qui ont été amenés en grand nombre par les colons et les ranchers.

A l’arrivée dans l’Ouest des chiens britanniques, des croisements se sont fait avec les races espagnoles, de la même façon que les chevaux hispaniques de l’ouest se sont croisés avec des throughbred ou d’autres races venant de l’Est avec les derniers colons. La principale sélection des chiens de troupeau se faisait sur leur capacité au travail. A la fin du 19ème siècle, l’influence du sang britannique prédomine.





De l’origine australienne de la race (NdT)



Dans l’édition du 24 septembre 1859 du San Joaquim Republican, une note apparaît :

« Australian Shepherd Dogs – Un certain nombre de ces créatures hirsutes (poilues) et intelligentes est arrivé ces derniers temps d’Australie, pour conduire les moutons dans le sud du pays. Ces chiens sont remarquablement malins, puissants et robustes, mais pas (très) beaux. Leur puissance et leur fidélité font l’objet de nombreuses anecdotes ».



Une autre importation est citée le numéro du 31 Mars 1860 :

« Australian Shepherd Dogs – Un gentleman de la ville [San Francisco] a récemment importé d’Australie un couple de chiens de bergers qui seront utilisés pour conduire les moutons dans les terres. Ces chiens sont connus pour leur force, leur docilité, leur courage et leur intelligence. Et vu comme l’élevage ovin se développe en Californie, les services de ces chiens pourraient se généraliser.

Le livre « Ressources of California » constate en 1869 : « dans les grands ranches d’ovins, un berger est employé pour une centaine de têtes. Il y a quelques chiens de berger dans le pays, certains venant d’Australie, d’autres d’Ecosse ».



Les chiens qui arrivaient d’Australie avec les chargements de moutons étaient en grande partie d’origine britannique, tout comme les colons d’Australie à cette époque. Les chiens australiens ont pu être apparentés, parmi d’autres, au chien de Smithfield, à poil long et queue courte, et au German Coolie (ou Koolie) merle. Le German Collie est connu depuis longtemps en Australie, bien que non reconnu par le Kennel Club australien. Son drôle de nom vient sans doute de sa popularité dans des régions d’Australie où il y avait beaucoup de colons allemands, les chiens eux-mêmes étant plutôt de souche britannique, acquise par les différentes vagues d’immigrants.

Il est possible qu’il y ait aussi une contribution de chiens de bergers allemands, étant donné que les moutons Mérinos importés en Australie au 19ème siècle venaient le plus souvent de Saxe (en Allemagne). Comme c’était le cas partout en Europe avant le développement des expositions canines, les chiens de bergers allemands présentaient une grande variété de poil et de couleurs chez à cette époque, y compris le bleu merle et les poils longs.

En Australie, tout chien d’origine allemande aurait été croisé avec les chiens britanniques plus nombreux, qui étaient eux même merles et possédaient une apparence et un style au travail assez similaire.

« Welsh Heeler » est un autre nom donnée en Australie aux chiens de ce type. Il y a des traces écrites de collies bleu merles poil court importés en Australie par la famille Hall.



De la même façon que dans l’Est des Etats-Unis, les chiens de bergers arrivant d’Angleterre ou d’autres îles britanniques étaient dénommés « English Shepherd » alors qu’il n’existe aucune race portant ce nom en Grande-Bretagne, les chiens de même type importés d’Australie ont été appelés « australian shepherd » dans l’ouest américain, bien qu’il n’existe aucune race de ce nom en Australie. Le nom a simplement été donné en Amérique aux chiens venant d’Australie.



Bien que seule une petite proportion des chien travaillant dans l’Ouest américain étaient issus d’Australie, et que la couleur merle existait chez les chiens « non-australiens », le rapprochement entre les chiens de bergers merles et l’Australie c’est peut-être faite ainsi : les gens assistant au débarquement des moutons arrivés à destination ont pu remarquer des chiens merles accompagnants les troupeaux. Ils sont ensuite associés la couleur et l’apparence générale de ces chiens avec celle similaire des chiens de la région, sans tenir compte de la réelle origine de chaque chien individuellement, et nommant ce type de chien de façon générique « australian shepherd ». On appelait souvent mon grand Sheltie bleu merle « berger australien », simplement à cause de sa robe et de son allure générale. Il est très habituel de voir des gens s’arrêter à une couleur pour identifier une race (NdT : c’est tellement vrai…).



Avec le temps, le nom « australian shepherd » a été de plus en plus utilisé dans l’ouest pour décrire les chiens. Un berger australien est apparu dans une exposition canine en Idaho en 1905. Les petites annonces « perdu/trouvé » font mention de bergers australien de différentes couleurs, par exemple un chiot noir et blanc a été trouvé en 1911, et il y a des annonces de demandes de bergers australiens dans les journaux en Californie, Nevada, et même en Alberta (Canada) avec des mentions de ce type de plus en plus fréquentes dans les années 1920.



À la fin des années 1920 et au début des années 1930, un australian Shepherd nommé Bunk a tourné dans des films avec le cowboy-star Jack Hoxie et dans d’autres films, comme dans les versions 1928 de "Shepherd of the Hills" et "Little Shepherd of Kingdom Come". Bunk a également fait des apparitions avec Hoxie dans le « 101 Ranch Wild West show » et Downie Bros. Circus. C’était un bleu merle d’apparence semblable à l'Australien actuel, mais avec une queue longue.





La « théorie basque » (NdT)



Je n'ai trouvé aucune preuve qui confirmerait la théorie selon laquelle le Berger australien serait issus des chiens amenés en Australie au 19ème siècle par les Basques depuis l'Espagne, pour accompagner les moutons Mérinos, puis emmenés de l'Australie vers l'Amérique. Bien que le Mérinos soit d’origine espagnole, les Mérinos ont été importés en Australie principalement de Saxe (Allemagne) plutôt que d’Espagne. Le Roi d’Espagne ayant offert au dirigeant de Saxe des Mérinos, l’Allemagne est finalement devenue la plus pratique source de Mérinos. (10)



Les Basques qui ont émigrés au Far West au milieu les années 1800 sont venus d'Amérique du Sud, du Mexique et du pays basque français et espagnol. Initialement venus à cause de la Ruée vers l’or, ils ont vite profité des opportunités qui s’ouvraient dans le bétail et ont prospérés dans l'industrie ovine des États-Unis. Les Basques ne sont pas partis en Australie avant la fin du siècle. Et là, ils se sont impliqués dans l'industrie de canne à sucre et pas dans celle du mouton. (11)

Dans leur patrie, les Basques n’étaient pas plus particulièrement associés à la conduite des troupeaux qu’autre groupe ethnique. Alors que parmi les Basques qui sont partis travailler comme bergers, quelques uns avaient élevés des moutons dans leur pays d’origine, les récits de Basques en Amérique racontent qu’ils n'avaient pas spécialement d'expérience de berger dans leur ancien pays. (12) C’est en Amérique que leur présence a été remarquée dans l'industrie ovine.



Les Basques ont eu une influence importante sur le développement du Berger australien de part l'utilisation et l’élevage de chiens de berger dans l'Ouest américain. Cela ne signifie pas pour autant que les ancêtres de ces chiens soient venus principalement du pays basque, bien qu'il soit compréhensible qu'on fasse la relation entre les Basques et les chiens qu'ils ont utilisés. Les témoignages des Basques qui sont devenus bergers aux Etats-Unis racontent qu’il était courant d’acquérir un chien à son arrivée (13). Ce point est confirmé par les recherches du Centre des Études basques à l'université du Nevada à Reno. Le peu de chiens qui a accompagné les immigrants basques ont été rapidement croisés avec les chiens de souche britannique, plus nombreux.



Il y a plusieurs races de chiens de berger originaires des Pyrénées dont une, la variété face rase du Berger des Pyrénées, qui a été déclarée comme l'ancêtre ou le principal ancêtre de l'Australien. Cependant, si l'on peut trouver effectivement des bergers des Pyrénées qui peuvent individuellement ressembler à un Australien —dans toute l'Europe, des types similaires en construction et en fourrure peuvent être trouvés dans les races de travail et même les bergers Lapons (NdT : lapin- et lapinporokoira ?) sont parfois NBT — les caractéristiques générales des races pyrénéennes ne ressemblent pas particulièrement à celles du berger australien.

Les chiens de berger du pays basque français sont généralement des chiens au visage hirsute, décrits comme ressemblant à un petit bearded collie de robe unie, avec des couleurs dans les nuances de fauve et sable, grises, noires et merles. La variété face rase, décrite comme un petit working collie ou un grand Sheltie avec le poil plus court; est plus souvent merle [NdT : que la variété poil long] et plus courante dans les contreforts du côté français que dans les hautes Pyrénées. Dans les deux variétés, le type noir et feu, qui inclut le tricolore, n'est pas considéré caractéristique et est listé comme une faute dans le standard de la race. Les marquages blancs sont découragés, le pourtour de l’oeil et la truffe doivent être invariablement noirs, et la couleur rouge ou chocolat n'est pas acceptée. Les chiens peuvent naître queue longue ou NBT. (14)



Une autre race de berger des Pyrénées est le Chien de berger Catalan, ou Gos d’Atura. C'est une autre race au visage hirsute, généralement sable ou grisâtre. Bien que les feux soit acceptés dans cette race, les marquages blancs sont découragés, la truffe et le pourtour des yeux doivent être noirs. Le chien que les Basques espagnols considèrent comme étant leur chien de berger traditionnel et qu'ils appellent le Berger basque (Euskal Artzain Txakurra ou Perro de Pastor Vasco) est un chien sable à queue longue. Il y a deux variétés: un poil mi-long avec la face et les pattes rases, et un type plus poilu avec là encore la truffe et yeux noirs. Évidemment, être considéré comme « non caractéristique » ne veut pas dire ne jamais arriver et c’est souvent que les standards de race modernes finissent par imposer plus de contraintes dans le type qu’il n’en existait chez les chiens d’origine.

Puisqu’il existait des types de fourrure et de couleurs similaires dans toute la population de chien de berger en Europe, il a du y avoir quelques Bergers des Pyrénées avec des feux, et sans doute il y a pu aussi avoir d'autres couleurs dans le Gos d’Atura et Perro de Pastor Vasco.

Il n’en demeure pas moins que dans la taille, la robe, la construction et les caractéristiques au travail, le Berger australien ressemble globalement davantage au « old collie/shepherd » qu'aux races pyrénéennes.

Il est extrêmement peu probable que les chiens importés du pays basque vers l'Amérique soient, comme par hasard, essentiellement les chiens merles face rase, moins courants, ou les chiens noirs et feux porteurs de rouge, plutôt que les chiens fauves poils longs, plus nombreux, et qu'en Amérique ils aient été élevés sans croisement avec les working collie/shepherd britanniques chez lesquels le noir et feu, le merle, le rouge et les marquages blancs étaient répandu, et d'une telle façon qu'ils aient pu constituer les fondation d'une race distincte. (15)





Conclusion : la naissance d’une race (NdT)



Beaucoup de photos américaines du 19ème siècle représentent des chiens du type « old working collie/shepherd ». Certaines personnes essaient de mettre sur ces chiens des noms de races actuelles, mais ce n'est pas vraiment probant. Les races actuelles (de tous les groupes) n’ont été clairement définies que longtemps après le début des expositions canines.

Quelques soient les souches choisies pour devenir des races reconnues, quelque soit l’époque et quelque soit leur forme, il reste beaucoup à faire une fois qu’un type a été défini comme étant une race. Contrairement à la croyance populaire, la reconnaissance d’un Club de Race ne garantie pas la pureté des origines historiques; tout ce qu’on peut dire, c’est qu’à un moment, les pedigrees ont commencé à être écrits et conservés, que le type est devenu plus standardisé et les stud-books ont été officiellement fermés.

Il y a eu énormément de croisements entre races bergères dans l'Ouest américain au 19ème siècle et au début du 20ème siècle. C’était d’autant plus probable que le type et l'utilisation de ces chiens étaient les mêmes. La quasi-totalité des races de chiens ont été développés sur ce genre de mélange, et le croisement, dans notre cas était beaucoup moins arbitraire, et se faisait entre des type beaucoup moins divergents que cela n’a été le cas pour de nombreuses races. (16)





Les caractéristiques générales et les preuves historiques indiquent que les origines du Berger australien sont principalement les Collie/shepherd des Îles britanniques, avec une influence espagnole/Basque.

Le Berger australien n'est pas une race australienne, bien qu'il y ait une relation indéniable avec l'Australie qui a fourni le nom; ce ne n’est pas non plus une race espagnole, basque, ou britannique.

C'est un pur produit Américain, développé sur une longue période dans l'Ouest américain. (17)

https://www.youtube.com/watch?v=jzD1DvhLtRg

https://www.youtube.com/watch?v=ejioz8N9h3U